Pour débuter ce temps des fêtes sur le blogue des Souvenirs de Ciné-Cadeau, je vous propose un petit tour d'ensemble des nombreux longs métrages en prise de vue réelle, donc pas d'animation, qui ont été diffusé dans la programmation de Ciné-Cadeau.
Nous voilà relancé pour une 3e saison du blogue! Les nouveautés dans notre bagage de trouvailles d'archives se fait plus rare, bien entendu, mais vous serez tout de même agréablement surpris des trésors d'animation que nous avons retrouvé au cours de l'année 2017! Merci à tous ceux qui ont aidé! Et merci à vous de parler du blogue et de partager la nostalgie du temps des fêtes télévisé!
Vous êtes prêt? C'est partit!
Au tout début de Ciné-Cadeau, la chaîne Radio-Québec (devenu aujourd'hui Télé-Québec) organise une programmation du temps des fêtes en incluant les tout petits. L'horaire de 18h30 dédié aux enfants ne porte pas encore le nom de Ciné-Cadeau mais est annoncé comme une série de films divers, bizarrement commandité par la firme "Pratt and Whitney Canada". Le titre verra le jour pour la première fois l'année suivante pour la programmation 1982-1983. Le tout premier film diffusé dans cette programmation est "Le paquet qui parle", un film d'animation, donnant ainsi le ton pour la sélection à venir. Toutefois, telle une première esquisse, Radio-Québec se cherche, en quelque sorte, et sont encore à l'étape d'expérimentation au niveau de la programmation des fêtes pour les enfants.
Avec sa volonté de découverte éducative, ils expérimentent cette première version de Ciné-Cadeau avec des genres cinématographiques très différents. 50% de la sélection est peuplé de films d'animation, l'autre moitié de films en prise de vues réelle. Déjà à ce moment, ils nous offrent une sélection internationale qui deviendra pour certains, une sorte de marque de commerce de Ciné-Cadeau, nous présentant des films tchèque, russe et polonais. Précisons que pour le propos, je vais exclure aujourd'hui les films de marionettes. Quoi que filmé, en quelque sorte, en prises de vue réelle, je les considère plus près du cinéma d'animation.
Le tout premier long métrage en prise de vues réelle est diffusé le 22 décembre 1981. "La guerre des gosses" (alias La bande à plumes noires) est un film tchèque réalisé en 1973. Il sera suivi de "Fuite en Irlande" (1971, Grande-bretagne/États-Unis), "Le pélican aveugle" (1963, URSS), "Katia et le crocodile" (1966, Tchécoslovaquie), "Messieurs les gosses" (1975, Tchécoslovaquie), "La clef d'or" (1968, Roumanie) et "Sirius" (1975, Tchécoslovaquie). Il est clair que la chaîne télé ne maitrise pas encore sa programmation, sinon pourquoi aurait-il diffusé un drame de guerre tel que "Sirius"?
Permettez-moi de vous le résumer: Le film raconte l'histoire d'un garçon de 12 ans, Fanek, et de son meilleur compagnon, un berger allemand nommé Sirius, durant l'occupation Nazi. Un jour, un train allemand est détruit par la résistance locale et les Allemands procède à l'arrestation du père de Fanek, et veulent confisquer les chiens de la ville pour être recycler en chien d'attaque contre les rebelles. Fanek ne veut pas abandonner Sirius et le cache dans les bois. Mais un jour, Sirius s'échappe de sa clôture... En espérant que je le retrouve un jour pour pouvoir le partager avec vous, je ne vous raconterai pas la fin, mais croyez-moi, elle est dur et le spectateur peut avoir du mal à retenir ses larmes.
En raison du climat politique de l'époque, le réalisateur Frantisek Vlácil est empêché de faire des longs métrages pendant la majeure partie des années 70. En réponse, il a réalisé un certain nombre de courts métrages et, dans le cas de "Sirius", un film destiné à un public plus jeune. Le métrage est touchant mais selon moi, touche des sujets très dur et troublant pour de jeunes enfants. Les nazi ne sont pas moins effrayant parce que c'est un film supposément "jeunesse". Toutefois, il est vrai que Vlácil réussit à présenter l'histoire avec une subjectivité enfantine de la guerre. Mais si vous êtes un lecteur régulier du blogue, vous devinez que j'apprécie cette approche de confiance envers les enfants que démontre Radio-Québec. Seulement, comme "Le prince Nezha triomphe du roi dragon", il est tout de même surprenant que des films aux sujets aussi délicats furent sélectionné pour un public jeunesse pour le temps des fêtes.
Ce n'était pas le cas de tout les films, bien entendu. Par exemple, "Katia et le crocodile" (1966). Un écolier confie a Katia les animaux de sa classe qu'il doit garder pendant les vacances: deux lapins, un petit singe, un étourneau parlant, des souris blanches, une tortue et un bébé crocodile. Mais celui-ci s'échappe et l'oiseau s'envole. Bientôt, tous les animaux se dispersent dans la ville. Le quartier entier se lance alors à la recherche des fugitifs dans une délirante poursuite.
Le patrimoine cinématographique tchèque déborde d'inventivité. Le pays fut d'ailleurs très fréquent dans la programmation de Ciné-Cadeau. Outre l'incroyable qualité et la diversité artistique de ces films d'animation, il existe également de nombreux trésors en prise de vues réelle. Malheureusement, le cinéma tchèque est trop peu connues du grand public. C'est très dommage. "Katia et le crocodile" fait partie de ces bijoux immanquables qui suscite l'enthousiasme des jeunes spectateurs. On a un plaisir fou de suivre Katia, d'abord emporté par l'exotisme du lieu de tournage, mais on est vite entraîné par le rythme effréné à la poursuite des animaux. Le film possède une amusante intrigue, de l'humour burlesque, une énergie folle, des personnages attachants, une saveur et un dynamisme unique. D'abord contenue, la course folle s'étend vite à toute la ville, à mesure que les enfants envahissent les appartements voisins, les rues, les toits et les rivières. Prague se transforme en véritable terrain de jeux. Non seulement il captive les plus jeunes, il fait ressortir le coeur d'enfant de leurs parents. Le film est présenté encore aujourd'hui dans plusieurs écoles de cinéma. C'est dire à quel point le film en est un qui mérite analyses.
Tout se transforme en magie entre les mains des réalisateurs Vera Simkova et Jan Kucera. Un détail en particulier attire notre attention. Simkova traite son histoire de la même manière qu'il la raconterais à des adultes. Il ne tente pas de prendre l'enfant par la main en nivelant par le bas. Vera Simkova en a d'ailleurs déjà parlé de cette volonté de prendre les jeunes au sérieux dans une entrevue: "Pour moi, je ne fais pas de distinction entre un film pour enfants ou un films pour adultes, je ne pense pas qu'il soit nécéssaire d'adapter la forme ou le continu d'un film en fonction d'un public déterminé. Les enfants sont très réceptifs, leur fantaisie donne tant de versions multiples à un simple thème que nous n'avons pas besoin de rêver pour eux." À travers ses propos, on reconnaît l'approche de la chaîne Radio-Québec. La confiance en la réception de l'enfant semble la tête de proue de l'approche Ciné-Cadeau. Au lieu de s'arrêter au simple divertissement, ils abordent des sujets parfois sensibles, durs et délicats, comme la mort ou la guerre, en faisant confiance aux jeunes spectateurs. Ce qui démontre une grande franchise envers les enfants. C'est selon moi la clef des secrets si bien gardés de la sélection des films de la programmation des fêtes.
Déjà pour la saison suivante (1982-1983), on retrouve moins de films en prises de vue réelle que la première année. Il est possible que Radio-Québec ai constaté que les cotes d'écoute étaient plus grandes les soirs de dessins animés. Nous avons tout de même eu droit à "Comment on réveille les princesses" (1977, Tchèque), L'oiseau bleu (1981, France, critiqué l'an dernier), "Nés pour être libre" (1972, Royaume-Uni), "La princesse orgueilleuse" (1952, Tchèque), "La pantoufle dorée" (1961, Pologne) et "L'heure des éléphants bleus" (1971, Tchèque).
La réduction de ces films se poursuit pour la saison 1983-1984, mais on incorporant malgré tout certaines nouveautés. Notamment, "Messieurs les gosses" (1975, tchèque), "La clef d'or" (1987, Roumanie, critiqué l'an dernier), "Saxane à l'école des sorcières" (1972, Tchèque, critiqué l'an dernier), "Le vieux chasseur d'ours" (1981, Japon), "Sirius" (1975, Tchèque) et le rare court-métrage "Pêcheur d'eau douce" réalisé par Roger Cantin et Danyèle Patenaude en 1982.
Promo de Radio-Québec dans le Guide Télé+ (La Presse) de la programmation des fêtes 1982-1983 |
La réduction de ces films se poursuit pour la saison 1983-1984, mais on incorporant malgré tout certaines nouveautés. Notamment, "Messieurs les gosses" (1975, tchèque), "La clef d'or" (1987, Roumanie, critiqué l'an dernier), "Saxane à l'école des sorcières" (1972, Tchèque, critiqué l'an dernier), "Le vieux chasseur d'ours" (1981, Japon), "Sirius" (1975, Tchèque) et le rare court-métrage "Pêcheur d'eau douce" réalisé par Roger Cantin et Danyèle Patenaude en 1982.
Puis les films en prises de vue réelle disparaissent complètement de la programmation pour la saison 1984-1985. Ils rediffuseront "La clef d'or" l'année suivante et "La bande à plumes noires" pour lancer la saison 1986-1987. De retour avec "Les aventures de Chatran" (1986, Japon, critiqué l'an dernier), une aventure d'animaux dans les contrés sauvages, pour sa saison 1989-1990. En 1993, Radio-Québec nous présente "Pense plus vite que le feu" (1992, Québec) avec Vincent Bolduc dans le rôle principal pour clore sa saison 1992-1993. C'est un court-métrage sur la prévention des incendies destiné aux enfants. Puis ils rediffusent "Les aventures de Chatran" l'année suivante.
C'est finalement pour la saison 1994-1995 que fait son entrée dans la programmation les films de la célèbre collection "Contes pour tous" avec "Simon les nuages" (1990, critiqué l'an dernier), réalisé par Roger Cantin. Mais qu'est-ce que les "Contes pour tous"?
C'est le nom qu'on a donné à une série de 24 films destiné au public jeunesse, produits par le producteur québécois Rock Demers, avec sa compagnie "Les Productions La Fête". Plusieurs de ces films sont produit avec des partenaires étrangers, répartis sur plusieurs continents tel que "Kratky Films" (Prague), "China Films" (Chine), "Channel 4" (Royaume-Uni), "Pathé" (France) et aux États-Unis, "Hallmark" et "Showtime". Les premiers films de la série sont tournés au Québec et en français québécois. Par la suite, pour le marché international, on tourne au Canada anglais, puis même dans les pays de l'est. Les films obtiennent un succès sans précédent au cinéma jeunesse à l'international.
Les "Contes pour tous" sont apprécié d'abord pour leur qualité, mais aussi pour leur absence de violence. Parmi les plus populaires, on retrouve "La guerre des tuques" (1984, André Melançon, Québec), "Opération beurre de pinottes" (1985, Michael Rubbo, Canada anglais), "Bach et Bottine" (1986, André Melançon, Québec, salué par l'UNESCO), "La grenouille et la baleine" (1988, Jean-Claude Lord, Québec) et "Les aventuriers du timbre perdu" (1988, Michael Rubbo, Canada/Australie / Chine).
À la base, la série "Contes pour tous" devait se limiter officiellement à neuf films, mais le succès de la série a fait monter le nombre à 24, le plus récent étant "La gang des hors-la-loi" (2014, Jean Beaudry, Québec). D'autres projets seraient présentement en chantier. Le premier film jeunesse produit par Rock Demers, "Le martien de Noël" (1971, Bernard Gosselin, Québec), ne faisait pas partie à l'origine de la série, mais avec le recul, il est aujourd'hui considéré par Les Productions La Fête comme en faisant partie intégrante.
La première question qui me vient en tête c'est: "Pourquoi avoir attendu aussi longtemps avant d'inclure les Contes pour tous?". Je n'ai malheureusement pas cette réponse. Mais "Simon les nuages" ne marque pas tout de suite le grand retour des films en prises de vues réelle à Ciné-Cadeau. L'année suivante, on y présente que de l'animation. Puis en 1996, ils présentent "L'ours" (1988, France/États-Unis), dont nous avons parlé l'an dernier, de même que "Simon les nuages" à nouveau. Puis la saison 1998-1999 se termine avec un Contes pour tous, "Vincent et moi" (1990, Michael Rubbo, Canada/France).
À partir de là, Ciné-Cadeau présente au moins un film en prises de vue réelle par année, et pas que les Contes pour tous. En 2000, on trouve "Anna et le roi" (1999, États-Unis), une sélection très surprenante, mais il faut comprendre qu'à partir de la saison 1999-2000, l'horaire ne se limite plus à la soirée, mais ils diffusent aussi des films en après-midi et c'est souvent là que sont diffusé les films en prises de vue réelle. Les contes pour tous sont ensuite de retour en 2002 avec le classique "Bach et Bottine", lui aussi diffusé en après-midi.
À partir de la saison 2004-2005, les films en prises de vues réelle, et en particulier les Contes pour tous, sont officiellement de retour en grande pompe dans la programmation, et cette fois, pour y rester.
Les Contes pour tous diffusé dans le cadre de Ciné-Cadeau
Le martien de Noël (1970)
La guerre des tuques (1984)
Bach et Bottine (1986)
La grenouille et la baleine (1988)
Les aventuriers du timbre perdu (1988)
Simon les nuages (1990)
Pas de répit pour Mélanie (1990)
Vincent et moi (1990)
La championne (1991)
Tirelire, combine et cie (1992)
Matusalem (1993)
Le retour des aventuriers du timbre perdu (1994)
Matusalem II: Le dernier des Beauchesne (1997)
Viens danser... Sur la lune! (1997)
La forteresse suspendue (2001)
Regina (2002)
Dans les dernières années, plusieurs autres films ne faisant pas partie des Contes pour tous se sont ajouté à la liste. Notamment "Edward aux mains d'argent" (1990, Tim Burton, États-Unis), "L'extravagant Dr. Dolittle" (1967, Richard Fleicher, États-Unis), Histoires d'hiver (1999, François Bouvier, Québec), "Hubert son altesse canine" (1999, Philip Spink, Canada/Royaume-Uni), "Le cheval de St-Nicolas" (2006, Mischa Kamp).
En célébration à tout ce cinéma, je vous offre aujourd'hui quelques raretés. Certains ont été partagé au cours des années précédentes du blogue, mais parmi les nouveautés, je vous offre le rarissime "Katia et le crocodile" de 1966. La famille aura un plaisir immense à découvrir ce petit chef d'oeuvre en provenance de Prague. Aussi, le classique Contes pour tous "Bach et Bottine", mettant en vedette Mahée Paiement, Raymond Legault et Andrée Pelletier. Et en bonus de Noël, le documentaire retrouvailles du 25e anniversaire de "La guerre des tuques". Pour les plus vieux ou les curieux, je vous offre aussi "La bande à plumes noires" mais je ne l'ai trouvé qu'en version originale tchèque. Mais bon, pourquoi se priver si ça vous intéresse?
Sur ce, je vous souhaite un merveilleux temps des fêtes en famille!
Un fabuleux Ciné-Cadeau!
Joyeux Noël à tous!
Bon cinéma!
Simon les nuages (1990) |
C'est le nom qu'on a donné à une série de 24 films destiné au public jeunesse, produits par le producteur québécois Rock Demers, avec sa compagnie "Les Productions La Fête". Plusieurs de ces films sont produit avec des partenaires étrangers, répartis sur plusieurs continents tel que "Kratky Films" (Prague), "China Films" (Chine), "Channel 4" (Royaume-Uni), "Pathé" (France) et aux États-Unis, "Hallmark" et "Showtime". Les premiers films de la série sont tournés au Québec et en français québécois. Par la suite, pour le marché international, on tourne au Canada anglais, puis même dans les pays de l'est. Les films obtiennent un succès sans précédent au cinéma jeunesse à l'international.
Les "Contes pour tous" sont apprécié d'abord pour leur qualité, mais aussi pour leur absence de violence. Parmi les plus populaires, on retrouve "La guerre des tuques" (1984, André Melançon, Québec), "Opération beurre de pinottes" (1985, Michael Rubbo, Canada anglais), "Bach et Bottine" (1986, André Melançon, Québec, salué par l'UNESCO), "La grenouille et la baleine" (1988, Jean-Claude Lord, Québec) et "Les aventuriers du timbre perdu" (1988, Michael Rubbo, Canada/Australie / Chine).
Coffret DVD intégral des Contes pour tous |
La première question qui me vient en tête c'est: "Pourquoi avoir attendu aussi longtemps avant d'inclure les Contes pour tous?". Je n'ai malheureusement pas cette réponse. Mais "Simon les nuages" ne marque pas tout de suite le grand retour des films en prises de vues réelle à Ciné-Cadeau. L'année suivante, on y présente que de l'animation. Puis en 1996, ils présentent "L'ours" (1988, France/États-Unis), dont nous avons parlé l'an dernier, de même que "Simon les nuages" à nouveau. Puis la saison 1998-1999 se termine avec un Contes pour tous, "Vincent et moi" (1990, Michael Rubbo, Canada/France).
À partir de là, Ciné-Cadeau présente au moins un film en prises de vue réelle par année, et pas que les Contes pour tous. En 2000, on trouve "Anna et le roi" (1999, États-Unis), une sélection très surprenante, mais il faut comprendre qu'à partir de la saison 1999-2000, l'horaire ne se limite plus à la soirée, mais ils diffusent aussi des films en après-midi et c'est souvent là que sont diffusé les films en prises de vue réelle. Les contes pour tous sont ensuite de retour en 2002 avec le classique "Bach et Bottine", lui aussi diffusé en après-midi.
À partir de la saison 2004-2005, les films en prises de vues réelle, et en particulier les Contes pour tous, sont officiellement de retour en grande pompe dans la programmation, et cette fois, pour y rester.
Les Contes pour tous diffusé dans le cadre de Ciné-Cadeau
Le martien de Noël (1970)
La guerre des tuques (1984)
Bach et Bottine (1986)
La grenouille et la baleine (1988)
Les aventuriers du timbre perdu (1988)
Simon les nuages (1990)
Pas de répit pour Mélanie (1990)
Vincent et moi (1990)
La championne (1991)
Tirelire, combine et cie (1992)
Matusalem (1993)
Le retour des aventuriers du timbre perdu (1994)
Matusalem II: Le dernier des Beauchesne (1997)
Viens danser... Sur la lune! (1997)
La forteresse suspendue (2001)
Regina (2002)
Dans les dernières années, plusieurs autres films ne faisant pas partie des Contes pour tous se sont ajouté à la liste. Notamment "Edward aux mains d'argent" (1990, Tim Burton, États-Unis), "L'extravagant Dr. Dolittle" (1967, Richard Fleicher, États-Unis), Histoires d'hiver (1999, François Bouvier, Québec), "Hubert son altesse canine" (1999, Philip Spink, Canada/Royaume-Uni), "Le cheval de St-Nicolas" (2006, Mischa Kamp).
En célébration à tout ce cinéma, je vous offre aujourd'hui quelques raretés. Certains ont été partagé au cours des années précédentes du blogue, mais parmi les nouveautés, je vous offre le rarissime "Katia et le crocodile" de 1966. La famille aura un plaisir immense à découvrir ce petit chef d'oeuvre en provenance de Prague. Aussi, le classique Contes pour tous "Bach et Bottine", mettant en vedette Mahée Paiement, Raymond Legault et Andrée Pelletier. Et en bonus de Noël, le documentaire retrouvailles du 25e anniversaire de "La guerre des tuques". Pour les plus vieux ou les curieux, je vous offre aussi "La bande à plumes noires" mais je ne l'ai trouvé qu'en version originale tchèque. Mais bon, pourquoi se priver si ça vous intéresse?
Sur ce, je vous souhaite un merveilleux temps des fêtes en famille!
Un fabuleux Ciné-Cadeau!
Joyeux Noël à tous!
Bon cinéma!
FILMS
Katia et le crocodile (1966) / Version françaiseBach et Bottine (1986)
La guerre des tuques... Au fil du temps (2009)
La guerre des gosses (alias La bande à plumes noires, 1973) / version originale tchèque
Liens vers les autres films:
L'oiseau bleu (1981)
La clef d'or (1968)
Saxane à l'école des sorcières (1972)
Les aventures de Chatran (1986)
Pense plus vite que le feu (1992)
L'Ours (1988)
Simon les nuages (1990)
Merci pour ces informations pertinentes.
RépondreEffacerBonnes fêtes ;-)
Je ne rappelle vaguement de Saxanne et du Virus chasseur d'ours. Pour uje raison quelconque je tennis mordicus a le voir.
RépondreEffacer