Les Maitres du Temps
Le texte d'aujourd'hui est difficile à écrire. Quelle
est la meilleure approche pour vous présenter le film Les maitres du
temps, en lui faisant honneur et respect, comme il se doit? Je me suis
posé la question en boucle toute la journée, sans trop avoir
l'impression d'avancer. Après avoir fait les éloges de tant d'autres
films d'animation sur ce blogue, comment vous faire comprendre le niveau
grandement supérieur de ce fabuleux trésor cinématographique? Je ne
veux absolument rien enlever aux autres grands films d'animation tela
que Le roi et l'oiseau, ou Le prince Nezha triomphe du roi dragon, mais
le cinéma de René Laloux et Moebius est plus grand que nature. Et puis
je me suis dit qu'au fond, je devais seulement me faire confiance, vous
raconter son histoire, comme d'habitude, et que mon amour et mon
admiration transparaitront sans doute à travers les mots que
j'improvise, sans que j'ai à trop y réfléchir. Faire confiance à mon
imagination.
René Laloux est surtout connu pour la réalisation de ses films d'animation renommés, mais avant cela, il est aussi dessinateur, peintre et sculpteur. Plus jeune, il s'intéresse au métier de marionnettiste, mais contracte une maladie virale durant son service militaire qui l'empêchera de poursuivre une carrière dans le domaine. À la fin des années 50, il donne des cours de marionnettisme, de peinture et d'ombres chinoises dans une clinique psychiatrique de La Borde. Le premier court-métrage qu'il réalise, Les dents du singe, qui a remporté plusieurs prix, est basé sur une histoire écrite par les patients de cette clinique. Dans les années 60, René Laloux rencontre l'écrivain et dessinateur Roland Topor, et le compositeur Alain Goraguer, et ils collaborent sur quelques court-métrages. Ils réaliseront ensemble un premier long métrage, un film que je porte au chaud dans mon coeur pour l'éternité, La planète sauvage, en 1973. Un film pop et philosophique, dans un décor surréaliste et psychédélique, réalisé en Tchécoslovaquie, car la production de films d'animation est très dispendieuse en France à cette époque. Le film, basé sur le roman de Stephen Wul (Pierre Pairault de son vrai nom), Oms en série, remporta une pluie de prix de partout dans le monde, notamment le prix spécial du jury de Cannes. Sans parler de son immense succès public et sa renommée à l'étranger. Malheureusement, c'est surtout Roland Topor qui reçoit les éloges. Probablement parce qu'il est une personnalité déjà fort connue, entre autrea pour son travail au sein d'un collectif connu comme Le Groupe Panique, comptant dans ses rangs, les grands Alejandro Jodorowski, Arrabal et Jacques Sternberg qui ont été récompensés l'année précédente, en 1973.
Malgré tout, René Laloux va par la suite s'associer au producteur Michel Gilet dans la production d'une série télé d'animation de science-fiction, encore une fois inspirée des romans de Stephen Wul. Les épisodes devaient être illustrés par des dessinateurs de la revue de BD pour adultes célèbre, Métal Hurlant, fondée par le dessinateur Moebius. Mais le projet évolua et se transforma, pour finalement devenir un seul long métrage, Les Maitres du Temps, inspiré du roman de Wul, L'Orphelin de Perdide, publié en 1958.
Moebius (Jean Giraud de son vrai nom), nous a quittés en mars 2012. Il est un dessinateur de bande dessinée renommé, qui publia ses premières bandes dessinées à l'âge de 18 ans, dans le magazine Far-West, en 1956. Il devient l'apprenti du célèbre Jijé (Spirou et Fantasio), d'abord comme encreur en 1961. Il publie sa série western à succès Blueberry pour le magazine Pilote en 1963, après que Jijé l'ait suggéré comme illustrateur. C'est dans les années 60, qu'il commence à signer ses oeuvres sous le pseudonyme Moebius, en abordant des thèmes plus personnels et moins conventionnels. Son pseudo, inspiré du Ruban de Möbius, inventé par August Ferdinand Möbius, apparait pour la première fois dans le magazine Hara-Kiri en 1963. Il rencontre en 1970 Alejandro Jodorowski et réalise l'affiche de son film El Topo. Mais au sein de l'équipe du journal Pilote, les débats s'enveniment et Moebius quitte la maison d'édition en 1974 (malgré quelques sporadiques retours occasionnels). Il illustre quelques pages de L'Écho des Savanes avant de fonder Métal Hurlant en 1975 avec Jean-Pierre Dionnet, Philippe Druillet et Bernard Farkas. Il sent qu'enfin il peut s'abandonner à ses bandes dessinées de science-fiction dans le style underground comme Arzach et Le Garage Hermétique, des BD qui ont influencé toute une génération d'artistes.
Moebius a travaillé sur une adaptation du roman Dune de Jodorowski en 1970, mais le projet, vu comme extrêmement ambitieux sera abandonné suite au désengagement de son producteur. Toutefois, le scénariste attaché au projet, Dan O'Bannon (réalisateur du Retour des morts-vivants) invita Moebius à travailler sur le design du film Alien, réalisé par Ridley Scott. Son apport au métrage est mineur, mais il en sera tout autrement pour le film TRON, réalisé par Steven Lisberberg. Il en créa les costumes, les véhicules et était en charge du story-board.
Mais retournons à nos moutons... Les maitres du temps! C'est l'auteur de romans policiers Jean-Patrick Manchette qui adapte L'Orphelin de Perdide et Moebius, en collaboration avec René Laloux, dessine le story-board complet du film. Pour les mêmes raisons budgétaires que La planète sauvage, le film est cette fois réalisé en Hongrie. Mais ce détail a pour conséquence que le travail avance très lentement et les équipes fournissent des séquences de qualité inégale. La musique est composée par Jean-Pierre Bourtayre, sur des paroles de Jacques Lanzman.
Le film respecte assez fidèlement le roman de Wul, mais on y trouve quelques différences malgré tout. D'abord, dans le déroulement de l'histoire, mais aussi au niveau des personnages, la plupart n'existant pas dans les romans. Notamment les extra-terrestres télépathes Jad et Yula ont été ajoutés pour commenter l'action et la rendre un peu plus explicite.
L'aspect inégal de la qualité de l'animation, d'un décor à l'autre, passe presque inaperçu devant l'ensemble original et touchant de l’œuvre. On reprocha au film, à sa sortie, de sacrifier certains élans artistiques pour viser un public enfant. Qu'à cela ne tienne, Laloux et Moebius respectent leur public. Ils ont opté pour la poésie, des émotions inspirées et une histoire intelligente de contemplation et d'émerveillement, au lieu de tomber dans la vulgarité et les débordements qu'on associe souvent au cinéma d'animation dit pour adulte. Le divertissement ne se retrouve pas dans les grandes actions, mais plutôt dans le chemin pour s'y rendre; un chemin que l'on suit à petits pas, pour bien profiter de toutes les inventions fabuleuses de Moebius. Au final, le film réussit à séduire autant les adultes que les enfants, et c'est je crois, la grande réussite des Maitres du Temps.
Sa production débuta en 1977 pour se terminer en 1982. Malgré quelques contraintes évidentes, Laloux a selon moi réussi l'impossible avec cet ambitieux long métrage d'animation et le résultat est un merveilleux chef d'oeuvre émouvant, magnifique, mais surtout, inoubliable. Les Maitres du Temps vous offre un dépaysement fantastique de science-fiction qui ne laisse pas de glace.
J'ai l'impression que je pourrais continuer comme ça pendant des jours. Je pourrais poursuivre avec des critiques et de nombreuses analyses du film, mais au final, lire ce que je pense des Maitres du temps est superflu. Ce qui compte, c'est de voir ce chef d’œuvre au moins une fois dans sa vie. Et si ce n'est déjà fait, cette première fois, peut être aujourd'hui!
Il fut diffusé le samedi 20 décembre 1986 à Ciné-Cadeau pour la première fois, puis rediffusé le 26 décembre 1988. Sans la programmation des fêtes de Radio-Québec, nous aurions pu passer à côté de ce trésor du cinéma d'animation. Ne serait-ce que pour celui-ci, un grand merci, Radio-Québec! Bon visionnement!
René Laloux est surtout connu pour la réalisation de ses films d'animation renommés, mais avant cela, il est aussi dessinateur, peintre et sculpteur. Plus jeune, il s'intéresse au métier de marionnettiste, mais contracte une maladie virale durant son service militaire qui l'empêchera de poursuivre une carrière dans le domaine. À la fin des années 50, il donne des cours de marionnettisme, de peinture et d'ombres chinoises dans une clinique psychiatrique de La Borde. Le premier court-métrage qu'il réalise, Les dents du singe, qui a remporté plusieurs prix, est basé sur une histoire écrite par les patients de cette clinique. Dans les années 60, René Laloux rencontre l'écrivain et dessinateur Roland Topor, et le compositeur Alain Goraguer, et ils collaborent sur quelques court-métrages. Ils réaliseront ensemble un premier long métrage, un film que je porte au chaud dans mon coeur pour l'éternité, La planète sauvage, en 1973. Un film pop et philosophique, dans un décor surréaliste et psychédélique, réalisé en Tchécoslovaquie, car la production de films d'animation est très dispendieuse en France à cette époque. Le film, basé sur le roman de Stephen Wul (Pierre Pairault de son vrai nom), Oms en série, remporta une pluie de prix de partout dans le monde, notamment le prix spécial du jury de Cannes. Sans parler de son immense succès public et sa renommée à l'étranger. Malheureusement, c'est surtout Roland Topor qui reçoit les éloges. Probablement parce qu'il est une personnalité déjà fort connue, entre autrea pour son travail au sein d'un collectif connu comme Le Groupe Panique, comptant dans ses rangs, les grands Alejandro Jodorowski, Arrabal et Jacques Sternberg qui ont été récompensés l'année précédente, en 1973.
Malgré tout, René Laloux va par la suite s'associer au producteur Michel Gilet dans la production d'une série télé d'animation de science-fiction, encore une fois inspirée des romans de Stephen Wul. Les épisodes devaient être illustrés par des dessinateurs de la revue de BD pour adultes célèbre, Métal Hurlant, fondée par le dessinateur Moebius. Mais le projet évolua et se transforma, pour finalement devenir un seul long métrage, Les Maitres du Temps, inspiré du roman de Wul, L'Orphelin de Perdide, publié en 1958.
Moebius (Jean Giraud de son vrai nom), nous a quittés en mars 2012. Il est un dessinateur de bande dessinée renommé, qui publia ses premières bandes dessinées à l'âge de 18 ans, dans le magazine Far-West, en 1956. Il devient l'apprenti du célèbre Jijé (Spirou et Fantasio), d'abord comme encreur en 1961. Il publie sa série western à succès Blueberry pour le magazine Pilote en 1963, après que Jijé l'ait suggéré comme illustrateur. C'est dans les années 60, qu'il commence à signer ses oeuvres sous le pseudonyme Moebius, en abordant des thèmes plus personnels et moins conventionnels. Son pseudo, inspiré du Ruban de Möbius, inventé par August Ferdinand Möbius, apparait pour la première fois dans le magazine Hara-Kiri en 1963. Il rencontre en 1970 Alejandro Jodorowski et réalise l'affiche de son film El Topo. Mais au sein de l'équipe du journal Pilote, les débats s'enveniment et Moebius quitte la maison d'édition en 1974 (malgré quelques sporadiques retours occasionnels). Il illustre quelques pages de L'Écho des Savanes avant de fonder Métal Hurlant en 1975 avec Jean-Pierre Dionnet, Philippe Druillet et Bernard Farkas. Il sent qu'enfin il peut s'abandonner à ses bandes dessinées de science-fiction dans le style underground comme Arzach et Le Garage Hermétique, des BD qui ont influencé toute une génération d'artistes.
Moebius a travaillé sur une adaptation du roman Dune de Jodorowski en 1970, mais le projet, vu comme extrêmement ambitieux sera abandonné suite au désengagement de son producteur. Toutefois, le scénariste attaché au projet, Dan O'Bannon (réalisateur du Retour des morts-vivants) invita Moebius à travailler sur le design du film Alien, réalisé par Ridley Scott. Son apport au métrage est mineur, mais il en sera tout autrement pour le film TRON, réalisé par Steven Lisberberg. Il en créa les costumes, les véhicules et était en charge du story-board.
Mais retournons à nos moutons... Les maitres du temps! C'est l'auteur de romans policiers Jean-Patrick Manchette qui adapte L'Orphelin de Perdide et Moebius, en collaboration avec René Laloux, dessine le story-board complet du film. Pour les mêmes raisons budgétaires que La planète sauvage, le film est cette fois réalisé en Hongrie. Mais ce détail a pour conséquence que le travail avance très lentement et les équipes fournissent des séquences de qualité inégale. La musique est composée par Jean-Pierre Bourtayre, sur des paroles de Jacques Lanzman.
Le film respecte assez fidèlement le roman de Wul, mais on y trouve quelques différences malgré tout. D'abord, dans le déroulement de l'histoire, mais aussi au niveau des personnages, la plupart n'existant pas dans les romans. Notamment les extra-terrestres télépathes Jad et Yula ont été ajoutés pour commenter l'action et la rendre un peu plus explicite.
L'aspect inégal de la qualité de l'animation, d'un décor à l'autre, passe presque inaperçu devant l'ensemble original et touchant de l’œuvre. On reprocha au film, à sa sortie, de sacrifier certains élans artistiques pour viser un public enfant. Qu'à cela ne tienne, Laloux et Moebius respectent leur public. Ils ont opté pour la poésie, des émotions inspirées et une histoire intelligente de contemplation et d'émerveillement, au lieu de tomber dans la vulgarité et les débordements qu'on associe souvent au cinéma d'animation dit pour adulte. Le divertissement ne se retrouve pas dans les grandes actions, mais plutôt dans le chemin pour s'y rendre; un chemin que l'on suit à petits pas, pour bien profiter de toutes les inventions fabuleuses de Moebius. Au final, le film réussit à séduire autant les adultes que les enfants, et c'est je crois, la grande réussite des Maitres du Temps.
Sa production débuta en 1977 pour se terminer en 1982. Malgré quelques contraintes évidentes, Laloux a selon moi réussi l'impossible avec cet ambitieux long métrage d'animation et le résultat est un merveilleux chef d'oeuvre émouvant, magnifique, mais surtout, inoubliable. Les Maitres du Temps vous offre un dépaysement fantastique de science-fiction qui ne laisse pas de glace.
J'ai l'impression que je pourrais continuer comme ça pendant des jours. Je pourrais poursuivre avec des critiques et de nombreuses analyses du film, mais au final, lire ce que je pense des Maitres du temps est superflu. Ce qui compte, c'est de voir ce chef d’œuvre au moins une fois dans sa vie. Et si ce n'est déjà fait, cette première fois, peut être aujourd'hui!
Il fut diffusé le samedi 20 décembre 1986 à Ciné-Cadeau pour la première fois, puis rediffusé le 26 décembre 1988. Sans la programmation des fêtes de Radio-Québec, nous aurions pu passer à côté de ce trésor du cinéma d'animation. Ne serait-ce que pour celui-ci, un grand merci, Radio-Québec! Bon visionnement!
FICHE TECHNIQUE
Titre alternatif: Time Masters
Année: 1982
Première diffusion à Ciné-Cadeau: Samedi 20 décembre 1986
Rediffusion à Ciné-Cadeau: 26 décembre 1988
Durée: 78 min
Pays: France / Suisse / Allemagne / Hongrie / Royaume-Uni
Réalisateur: René Laloux
Scénario: Stefan Wul, René Laloux , Jean Giraud , Jean-Patrick Manchette
Produit par: Télécip, TF1 Films Production, Westdeutscher Rundfunk (WDR)
Synopsis: Piel, un petit garçon en compagnie de son père, atterit sur une planète sauvage, Perdide. Avant de mourir, son père réussit à contacter son ami Jaffar, et lui demande de sauver son fils Piel, désormais seul sur cette planète. Piel reçoit de son père un microphone, son seul moyen de contact avec Jaffar qui, avec des compagnons, vont lui parler tout au long du voyage en lui donnant de judicieux conseils. Jaffar se dirige vers Perdide pour sauver le petit Piel mais plusieurs incidents vont se dérouler au cours de l'aventure.
Titre alternatif: Time Masters
Année: 1982
Première diffusion à Ciné-Cadeau: Samedi 20 décembre 1986
Rediffusion à Ciné-Cadeau: 26 décembre 1988
Durée: 78 min
Pays: France / Suisse / Allemagne / Hongrie / Royaume-Uni
Réalisateur: René Laloux
Scénario: Stefan Wul, René Laloux , Jean Giraud , Jean-Patrick Manchette
Produit par: Télécip, TF1 Films Production, Westdeutscher Rundfunk (WDR)
Synopsis: Piel, un petit garçon en compagnie de son père, atterit sur une planète sauvage, Perdide. Avant de mourir, son père réussit à contacter son ami Jaffar, et lui demande de sauver son fils Piel, désormais seul sur cette planète. Piel reçoit de son père un microphone, son seul moyen de contact avec Jaffar qui, avec des compagnons, vont lui parler tout au long du voyage en lui donnant de judicieux conseils. Jaffar se dirige vers Perdide pour sauver le petit Piel mais plusieurs incidents vont se dérouler au cours de l'aventure.
TÉLÉCHARGER LE FILM
AVI / 680 mo
AVI / 680 mo
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La famille Pephling
La famille Pephling est un film d'animation
extrêmement rare. Merci à Marc-André Brûlé pour la trouvaille! Même
après des années de recherche, nous ignorons encore qui a produit ou
réalisé le court métrage. D'après le style de dessin et les
télé-horaire, le film est assurément japonais. On sait aussi qu'il fut
réalisé en 1980 et au générique, il est inscrit "Orient Films", mais je
suis sorti bredouille de mes recherches, je ne trouve aucune information
sur cette compagnie.
Au final, c'est comme si nous étions les seuls à
connaitre ce court-métrage dramatique, grâce à la programmation
exceptionnelle de Ciné-Cadeau. Il fut diffusé à 2 reprises dans le temps
des fêtes, d'abord le vendredi 29 décembre 1989, puis en rediffusion
l'année suivante à la même date. On sait aussi qu'il fut diffusé dans le
cadre de l'homonyme d'été de Radio-Québec, Ciné-Soleil, le 14 août
1994. Si vous avez quelconque information supplémentaire sur La famille
Pephling, partagez avec nous! Bon visionnement!
FICHE TECHNIQUE
Titre original: inconnu
Année: 1980
Première diffusion à Ciné-Cadeau: Vendredi 29 décembre 1989
Rediffusion à Ciné-Cadeau: 29 décembre 1990
Durée: 25 min
Pays: Japon (je crois)
Réalisateur: inconnu
Scénario: inconnu
Produit par: Orient Films
Doublage français: TVMC Audiovisuel, Gilbert Lachance, Pierre Auger, Violette Chauveau, Flora Balzano, Nicole Fontaine
Synopsis: Les aventures d'une famille pauvre composée d'un père professeur de musique, d'une mère qui travaille à la maison et de leurs sept enfants.
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BONUS:
Année: 1997
Épisode: #16
Pays: France
Durée: 5 min
Tom-Tom & Nana: C'est Noël, on s'enguirlande par RetroToonAddict
Titre original: inconnu
Année: 1980
Première diffusion à Ciné-Cadeau: Vendredi 29 décembre 1989
Rediffusion à Ciné-Cadeau: 29 décembre 1990
Durée: 25 min
Pays: Japon (je crois)
Réalisateur: inconnu
Scénario: inconnu
Produit par: Orient Films
Doublage français: TVMC Audiovisuel, Gilbert Lachance, Pierre Auger, Violette Chauveau, Flora Balzano, Nicole Fontaine
Synopsis: Les aventures d'une famille pauvre composée d'un père professeur de musique, d'une mère qui travaille à la maison et de leurs sept enfants.
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BONUS:
Tom-Tom et Nana: C’est Noël, on s’enguirlande
Année: 1997Épisode: #16
Pays: France
Durée: 5 min
Tom-Tom & Nana: C'est Noël, on s'enguirlande par RetroToonAddict
La vidéo n'est pas complète pour La famille Pephling. Avez-vous la première partie?
RépondreEffacerMalheureusement, c'est tel quell qu'on l'a trouve sur une VHS. Toutefois, si on regarde les tele-horaire, on constate qu'il a ete diffuse le meme soir que 2 autres courts-metrage. Comme la duree de Cine-Cadeau est de 90 minutes, il est fort a parier que La Famille Pephling ne dure que 30 minutes. Alors si il nous manqué un bout, ce n'est pas grand chose, juste une partie de l'intro.
EffacerEn fait, il manque exactement 20 minutes, l'anime complet fait 42 minutes (je sais, je l'ai, lol), qui est en fait une série d'animation japonaise de 127 episodes de 11 minutes.. Ce "film'' est en fait une compilation de 4 episodes qui ont été traduit par nos collegues quebecois de l'époque !
EffacerLes Maitres du Temps était genial.
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